Il croyait travailler par nécessité, et il prenait plaisir à répéter que la nécessité est une muse à laquelle le courage donne sa poésie. Soutenu par l'idée que cet essai serait le dernier, il se sentait une entière liberté d'esprit, et, lorsqu'il... Bulletin de la Société liégeoise de littérature wallonne - Сторінка 364 1861 Повний перегляд -
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