 | 1787 - 320 стор.
...Tu sais combien je dois à ses heureux secours. la mort nVavoîc ravi les auteurs de mes jours; Mais lui , voyant en moi la fille de son frère, Me tint lieu , chère Llise , et de père et de mère. Du triste état des Juifs lour et nuit agité , II me tira du sein... | |
 | Antoine Arnauld (jr.), Claude Lancelot - 1803 - 522 стор.
...m'élevoit alors solitaire et cachée Sous les yeux vigilans du sage Mardochée. • . .•.j,'•• i Du triste état des Juifs jour et nuit agité, II me tira du seiu de mon obscurité; Et sur mes foibles mains fondant leur délivrance^ II me fit d'un empire accepter... | |
 | 1805 - 276 стор.
...mort m'avoit ravi les auteurs de mes jours : IVÎ>ns lui, voyant en moi la fille de son irère , IVIe tint lieu , chère Elise, et de père et de mère. Du triste état des Juils jour et nuit açité , Il me tira du sein de mon obscurité ; Et, sur mes foibles mains fondant... | |
 | Antoine Arnauld - 1810 - 484 стор.
...à la beauté. On m'élevoit alors solitaire et cachée Sous les yeux vigilans du sage Mardochéc. Du triste état des Juifs jour et nuit agité, II me tira du sein de mon obscurité; Et sur mes foibles mains fondant leur délivrance , II me fit d'un empire accepter l'espérance. A ses desseins... | |
 | Jean Racine - 1810 - 418 стор.
...Tu sais combien je dois à ses heureux secours. La mort m'avoit ravi les auteurs de mes jours : Mais lui , voyant en moi la fille de son frère, Me tint lieu, chère Élise, et de père et de mère. Du triste état des Ju iis jour et nuit agité , . • 11 me tira... | |
 | Charles Nodier - 1812 - 602 стор.
...beauté. On ni'élevoit alors solitaire et cachée Sous les yeux vigilans du sage Mardochée. Du trkte état des Juifs jour et nuit agité, II me tira du sein de mon obscurité ; Et sur mes foibles mains fondant leur délivrance > II me fit d'un empire accepter l'espérance. A ses desseins... | |
 | Jean Racine - 1813 - 300 стор.
...sais combien je dois à ses beureux secours, I*a mort m'avait ravi les auteurs de mes jours : Mais lui, voyant en moi la fille de son frère , Me tint lieu , cbère Élise , et de père et de mère. Dn triste état des Juifs jour et nuit agité , II me tira... | |
 | Charles Constant Le Tellier - 1815 - 302 стор.
...sais combien je dois à ses heureux secours : La mort m'avoit ravi les auteurs de mes jours } Mais lui, voyant en moi la fille de son frère, Me tint...agité, II me tira du sein de mon obscurité, Et sur mes foibles mains fondant leur délivrance, II me fit d'un empire accepter l'espérance. A ses desseins... | |
 | Parnassus - 1816 - 282 стор.
...Tu sais combien je dois à ses heureux secours. La mort m'avait ravi les auteurs de mes jours : Mais lui, voyant en moi la fille de son frère, . Me tint...et de père et de mère. Du triste état des Juifs nuit et jour agité, 1I me tira du sein de mon obscurité ; 83 Et, sur mes faibles mains fondant leur... | |
 | Antoine Court de Gébelin - 1816 - 494 стор.
...avoir de genre et de nombre, comme on le voit par ces vers de la tragédie d'Esther : Mais lui , VOTANT en moi la fille de son frère, Me tint lieu, chère Elise, et de père et de mère Qui pourrait cependant exprimer les cabales Que formait en ce lieu ce peuple de rivales , Qui mutes,... | |
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On m'élevait alors, solitaire et cachée, Sous les yeux vigilants du sage Mardochée. Tu sais combien je dois à ses heureux... 
