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jaramuztür: Adjectif qualificatif joint à un verbe (1 intercalaire); adjectif (b); finale du subst. (a); verbe (g); subst. (pas de radical); à l'indicatif (1), présent (pas de voyelle entre les deux dernières lettres); 3e pers. du sing. (i) (1), soit. . .

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better: Adjectif qualificatif (b); au comparatif (1); fin.
du subst. (a), soit. .
Même analyse que dür, voir ci-dessus, soit..

tür:

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b-algli

va

bl-a
gli

A. Fagé! S. Jegip -lpaẻ. A. 1-nie —u -u g—ne vɛ, jɛga l—ne. S. Jɛgiv 1-lai. A. h 1-lie é; -e deu g-ra, a glii. B. Veg, puba puba -lpeyltu b-salzolglo. A. Jeha; vob pou iu 1-ne; poo -o -oltɛt l—s b-salzo gli? B. Vɛda dose g—no. A. L—ne, -ul-no. B. poo ou lʊm-la; —lpaa 1-li. A. -lpea jajo b-a glow vad, -u la-loe; -i puda -Ipea groi, daa poo -o dee go-la; go-ne; poe

b -e

A. Bre oghlan ! S. Lepeik, szultānüm. A. War Ali selebije di ki, buraja gelszün. S. Iste gelijür. A. Ejü geldün selebi; oghlani szana jollaszam, gerek idy. B. Nitsiün, bir chyzmetünüzde lazimmiiz? A. Choir; andzsiak su hawanün güzelligine bak; böjle hawada ewde durmak lājykmi dür? B. Ia ne japalüm? A. Gel, szejre gidelüm. B. Bu gün szejre gidemem; isdzsigezüm war. A. Islerün okadar bedzsid degüldür ki jarina brakmajasyn; dünja kadar isün olsza, ben bu gün szeni kojuwirmem; szebeb tutma; su -e go-no; poo güzel hawaji katsürmajalum; bu cr-solpese h-—ljuvu gün idedzsegini

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jarinda

ide bilürszin; chyzmetkārümi kajyk

(1) L'adjectif fait ici l'office d'un comparatif; nous conservons le positif pour rester fidèle au modèle.

-us

g-lia.

juga 1-18, deu

A.

n

B.

cr-aldao

a gloa.

-a

jud jube 1-li.
1-smia 1-lai.
g-lieza? S. Jage é, p8e
jaj b-lpie g-lia. A. Pajo
g-lie. S. P8a0 -og-lia.
A. Pude e b-e g-liez. S.
b-a gli paé. A. Ved dos
ecateu gne. B. H-1-no
V3C, -u lo-no. A.
Fyg 1-no, -u -Ipeu
1-no; fwC dieljuvu
g-meo. B. Juj jap -lpaé;
jube la-lo, -lpao tit
gli. A. lpɛa b-a gmoi
—lpaé. C. B-& 1-lis
—ê. A. Fyg, l—ne tiboldawz8.
C. Jεvaz8 1-las? A.
-u 1-lo. C. Juj jap
-paé, 1-no. S. L-18
-ê; jegiv =u 1-lio.
A. Jega 1-no va
1-no. B. Jaj jap. C.
gni. A. Fig -é
g-nelva tiboldalz8 1-ne. B.
Jɛgivolio. C. Fyb dose
g-le, poa —a b-a glolizo?
A. L-no-ê, va p8e -e
pube g-no; e g-ne. B.
Jaj b-a a gli. A. L-ne,

Vage tutmagha jollamysim. B. Tsiünki elbette iszterszyn, szana joldas olaim. A. kajygha jolladughüm chyzmetkār B. Jegiv ne pek gedzsikty. B. Iste A. -e szegirderek gelijür. A. Kajyk buldünmi? S. Ewet szultánüm, bir pek ejüszini buldüm. A. Katse tuttün? S. Bir zolotaja tuttüm. A. Her sej hazyr ittünmi? S. Hazyr dür szultanüm. A. Imdi onlari kajygha göndür. B. Tez gidelum ki, iszszidzsagha kalmajalüm. A. Hajde gidelüm, tselebi karyndasüne oghrajalüm ; bulajki onida ajardajajdük. B. Pek ejü szultānüm; tsiok eglenmeziz, jolümüzün üsztinde dür. A. Szobahünüz chojr ola szultānüm. ¡C. Chos geldünüz aghalar. A. Hajde, gel bilemüzdzse. C. Neredzsige gidejürszenys? A. Szejre gidelüm. C. Pek ejü szultanüm, gidelum. S. Girün aghalar; iste Ortaköje geldük. A. Burada inelüm we baghtseje J8ba gidelüm. B. Pek ejü. C. Ojle o'szum. A. Bre oghlan mandzsaji alda, bilemüzdzsa gel. B. Iste baghtsœje geldük. C. Hej ne dirszyn, bu jerdzsigez ejü degülmi? A. Oturalüm Aghalar, we bir lok mo sej jejelüm; serābi götür. B. Pek güzel jer dür. A. War, Bostandzsije szöjle, bize bir az g--ne. S. Da diu jemis götürszün. S. Ben ona -OS. C. yszmoaladüm, gitty koparmagha. C.

-

-0

e

-u g-ne, das pse juta

e

1—lia,

1-lii

b-

Jegiv -lai. D.
-ė; de8
g-la; jogaz8 g-lia,
l—lw. A. B—a algli. B.
P80 juta oltat 1-no, jogɛ
-ul-loo. C. Fyg 1-smia
1-no. A. L-ne-o tica. S.
=i-0 l—lio ; jegid
=a. B. L-nolzo? -a
juga 1-li. A. Pudo -o
b-o -oltava 1-no. C.
-oltibo g-loo. S. Javig

B-a l-li8 Iste gelijür. D. Chos geldünüz Aghalar; szize turfanda kiresz götürdüm; simdidzsik kopatdüm, tazedürler. A. Güzel kiresztür. B. Bir az baghtsæde gezelüm, szonra kajygha dönerüz. C. Hajde gezinerek gidelüm. A. Tsek boghasa doghru. S. Arnauld-Kojine geldük; iste Büjükdere. B. Inelümmi? Szejri pek güzeldür. A. Bütün boghazi kara denyzedek gezelum. C. Döniste Anadolidon getserüz. S. Iste Anadolijo geldük. A. Su tsiftlige girelüm; serābün warmi daha? S. Ewet szultānüm; iki sise daha war. A. Gitmezden ewwel itselüm.

l-lio. A. Poo

1—no; —lpea 1–liz juvi? S. Jagelpaé; põеx -α juvis–li. A. -os todi,

1-no.

DIALOGUE extrait de la grammaire de Meninski.

CHAPITRE V.

DE L'ANALYSE GRAMMATICALE

DE LA LANGUE UNIVERSELLE, COMME

MÉTHODE POUR APPRENDRE LES LANGUES MORTES OU VIVANTES,
OU COMME INSTRUMENT POUR ÉTABLIR UNE COMPARAISON

ENTRE TOUS LES IDIOMES CONNUS.

A peine sommes-nous initiés à la théorie de la Langue universelle, que déjà nous pouvons nous livrer à des études importantes.

Nous exposerons les deux applications qui nous semblent dignes d'attirer l'attention des savants et surtout des professeurs de langues mortes ou vivantes : la première est celle dont l'utilité ne peut laisser aucun doute, c'est un procédé entièrement neuf pour initier à l'étude des langues, avec une facilité merveilleuse, sans fatiguer la mémoire et sans pratiquer les exercices connus sous le nom de thêmes, tout en conservant les précieux avantages que ces exercices offrent aux étudiants. La deuxième, sur laquelle nous dirons un premier mot, en réservant à nos travaux ultérieurs un examen plus détaillé et de plus longs développements, est la comparaison qui peut désormais s'établir si facilement entre tous les idiomes qui ont été parlés jusqu'aujourd'hui au point de vue grammatical, et par suite même au point de vue littéraire.

On a dû remarquer combien notre système conventionnel est simple et rationnel quiconque sait déjà l'analyse grammaticale, en plaçant notre tableau synoptique devant ses yeux, ne sera pas plus d'un jour à en faire des applications nombreuses sur sa propre langue. La connaissance des tables grammaticales sera suffisamment acquise en quelques jours; de sorte qu'on peut affirmer qu'en huit jours on pourra posséder, aussi complètement qu'il est nécessaire, les maté

riaux que nous proposons pour venir en aide à l'intelligence et à la mémoire. Or, l'analyse grammaticale de sa propre langue s'acquiert si facilement, quand on a les moindres notions grammaticales, ou même quand on a l'habitude d'écrire correctement, qu'il devient évident que la grammaire de la Langue universelle ne demande à personne plus qu'un travail de quelques heures, répété pendant une quinzaine de jours. On va voir si ce premier travail doit être infructueux.

S Ir.

Application de l'analyse grammaticale à l'étude des langues mortes ou vivantes.

Connaître une langue, c'est être aussi familier avec les sons qui expriment les pensées, qu'avec les caractères qui représentent ces sons, et par conséquent ces pensées. La méthode qui conduirait à cette connaissance devrait donc tendre à ce double but.

1o La méthode que nous pouvons appeler naturelle est celle qui nous initie à notre langue naturelle nous savons de bonne heure, par l'habitude ou par la pratique, les mots ou radicaux qui se rattachent à nos principaux besoins, et nous comprenons par la simple transmission de la mémoire, et sans nous en être rendu un autre compte, les diverses liaisons grammaticales que ces mots forment entre eux. C'est plus tard, et non sans difficulté, que le travail pénible de la lecture nous met en possession des signes conventionnels qui, en nous rappelant les sons, nous rappellent aussi les idées. Enfin, l'analyse et l'étude mettent, au milieu de ces matériaux confus et indistincts, de l'ordre, de la liaison, et en même temps un degré de précision qui satisfait notre raison et rend nos pensées distinctes et intelligibles. Cette méthode répond aux besoins et à la faiblesse de notre organisation : elle est philosophique en ce sens qu'elle est proportionnée, pour la rapidité des progrès, aux moyens naturels dont nous sommes doués et au milieu dans lequel nous sommes placés. Quand on veut l'appliquer à l'étude d'une langue autre que

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