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en choisiriez-vous? Je ne saurais vous le dire.-Ya-t-il été? Oui, il y a été.—Il a une belle charge, il y aspirait depuis longtemps. Le chirurgien lui a pansé le bras. J'ai mal à la tête et au cœur. Donnez-moi ce livre, cet encrier, cette plume et ces crayons. Ôtez ceci et donnez-moi cela.--Laquelle préférezvous de ces couleurs? Je préfère celle-ci à celle-là.—Ĉe livre-ci est plus intéressant que celui-là. Ces portraits-ci ne sont pas si bien faits que ceux-là. Celui qui parle m'a donné ceci.— Cette plume est mauvaise. Laquelle ? Celle que je vous ai donnée. Celle qui est sur la table.-Les personnes qui vous aiment et celles que vous aimez. Ceux que nous avons vus sont partis. La nature dont nous ignorons les secrets. C'est une condition sans laquelle il ne réussira pas.-A quoi pensezvous? À mon devoir.—Qu'est-ce que c'est ? Rien.

Pronoms indéfinis.

Connaissez-vous quelqu'un ici? Non, personne.-Quiconque vous l'a dit a raison. Chacun a son opinion. Quelque grands que vous soyez, quelques richesses que vous ayez, et quels que soient vos talents, je vous assure, messieurs, que vous ne serez pas élus. Quelles que soient vos qualités, vous trouverez des gens qui vous égaleront en mérite. On dit que le corsaire est pris.-A-t-on reçu des nouvelles? Oui, on en a reçu ce matin. -En a-t-on parlé? Je ne le crois pas.-Qui que ce soit qui appelle, ne venez pas. Tout ce que vous dites est vrai. Tout savant que vous êtes, soyez modeste. Quand on vous parlera, vous répondrez. Le théâtre, où l'on représente cette pièce. Si l'on me demande, je serai dans mon étude. Toutes savantes et tout aimables qu'elles sont, ne vous y fiez pas. Ils ont apporté leurs offrandes, chacun selon ses moyens. Ni l'un ni l'autre n'ont fait leur devoir.

Verbes.

Je suis bien aise de vous voir.-Avez-vous les moyens nécessaires? Oui, nous les avons.—Aura-t-il le journal? Oui, il l'aura.-Elle n'aura pas beaucoup d'avantages sur lui.— Vos amis sont-ils encore à Londres? Non, ils sont partis.— Ses dernières lettres n'étaient pas consolantes.-Votre élève ne profite-t-il point? Non, pas du tout.-Des historiens véridiques n'ont-ils pas raconté ces faits importants? Plusieurs en ont parlé.-Mon frère et son amie sont arrivés.—À qui parlé-je? A moi.-Est-ce que je cours? (149.) Est-ce que je crois ce que tu m'as dit? Vous devriez le croire.-Vous

viendrez, n'est-ce pas ? Peut-être.-Il parle français, n'est-ce pas? Un peu.-Il est tard, n'est-ce pas ? Oui, il est trèstard.-Qui sont ces messieurs? Ce sont mes amis.-On aime le roi, et l'on craint le ministre. Mon père lui pardonne. Vous et votre ami, vous parlerez au directeur. Pendant mon séjour à Paris, j'allais tous les jours me promener aux Tuileries. Je l'y voyais très-souvent. Il vint me voir hier. Je l'ai vu ce matin.-Quand irez-vous à Paris? L'année prochaine. Je désire que vous veniez me voir, et je voudrais qu'ils vinssent aussi.- Voulez-vous que j'aille à l'église ? Certainement, je le veux.-Asseyez-vous, ma sœur, vous avez l'air fatigué. Buvez un verre d'eau. Ces lettres ne sont pas écrites. Ma sœur est tombée, elle a passé la nuit sans dormir. Avezvous lu la lettre que j'ai écrite? Oui, je l'ai lue.-Avez-vous écrit la lettre que j'ai lue? Oui, c'est moi qui l'ai écrite.— Il veut que vous fassiez votre devoir. Nous voudrions que vous lussiez les journaux. Permettez-moi de vous faire observer que nous leur avons écrit plusieurs fois, et que nous ne croyons pas qu'ils aient reçu nos lettres.

Verbes réfléchis.

Je me propose de vous enseigner. Ils se promettent le plaisir d'aller au musée. Nous nous habillons. Il se lève à cinq heures; et vous, à quelle heure vous levez-vous? À sept heures. Ils se détestent.-S'alarme-t-il sans raison? Oui, très-souvent.-Ne s'ennuiera-t-il pas à ce concert? Peut-être.-S'y est-il abonné? Oui, il s'y est abonné.-Mesdames, vous êtesvous promenées ce matin? Oui, monsieur, nous nous sommes promenées pendant trois heures. Nos frères se promenaient à cheval, pendant que ces demoiselles se promenaient en bateau. -Dépêchez-vous. Allez-vous-en. Je ne m'en souviens pas. Ces deux amis se sont embrassés. Le vin se boit en France. nous laissons pas tromper. Se sont-ils réjouis de cette rencontre? Oui, tant soit peu.-Les soldats se sont-ils emparés de la maison? Pas encore.-Vous êtes-vous blessé? Je me suis coupé au poignet.--Vous portez-vous mieux? Oui, beaucoup mieux, je vous remercie.-Il s'est enrhumé.

Verbes impersonnels.

Ne

Il y a de bonnes raisons. Y a-t-il beaucoup de monde? Non, il n'y a personne.-Il y a une heure que je vous attends. Il y a longtemps qu'il est parti. Il est des hommes que la ré

sistance anime, il en est d'autres qu'elle décourage. Il faut que vous lui répondiez. Il lui faut répondre. Il me faut des moyens. Il se fait tard. Il m'en coûte beaucoup de lui faire des reproches. Il suffit de le faire. Il ne neige pas, mais il fait froid.-Crois-tu qu'il pleuve? Non, il fait trop de vent.Il ne faut pas que vous veniez si tard. Il me vient une idée.

Idiotismes (voyez la page 377).

Il venait d'arriver. Je dois lui parler et il va sortir. Il devrait me répondre. Il a dû sortir.-Aurait-il pu faire autrement? J'en doute.-Ils auraient pu parler plus haut. Ditesmoi de quoi il s'agit.—Il se trouvait alors à Paris. Faites-moi voir ce que vous avez écrit. On dirait que vous êtes malade. J'aime beaucoup la lecture.-Comment cela va-t-il, mon ami? Je me suis fait arracher une dent.-Voulez-vous battre les cartes? Si cela peut vous faire plaisir.-Vous pouvez compter sur lui. Je ne m'y connais pas. J'en conviens. Le bruit court qu il est mort. Je crois que non. Je crains qu'il ne pleuve, car le temps se couvre. Le vaisseau a coulé à fond.Qu'en dites-vous? Cela va sans dire.-Il paraît qu'elle s'en donne à Paris. Cela s'entend. Faites mes amitiés à vos enfants. C'est un homme comme il faut. Qu'est-ce que cela me fait? Laissez-le. Elle se met à son aise. Il ne peut se passer de vous.

Elle a pensé mourir de chagrin, elle n'en pouvait plus de douleur. Cela se peut. Elle ne sait à qui s'en prendre. Faitesmoi rappeler que je dois lui écrire. Cela revient au même. Remettez-vous. Je ne saurais le faire. Il a servi. Il tarde bien à venir. Il ne tient qu'à moi de le faire, et je saurai bien m'en tirer. Ne trouvez pas mauvais que je vous dise que vous n'en viendrez jamais à bout, car vous n'y entendez rien. Faites comme vous voudrez, mais ne m'en voulez pas. Menez cet enfant à l'école.-Vous amènera-t-il votre cheval? Non, il est parti depuis une heure. Il emmena mon frère dans son carrosse. Remenez cet enfant à sa mère. Portez ces livres dans mon étude. Apportez-moi de l'argent. Emportez ces lettres. Reportez ces papiers dans ma chambre. Comment se portent monsieur votre père, madame votre mère, et mesdemoiselles vos sœurs? Assez bien, merci.-Eh bien, mon ami! Comment se portent ta femme et tes enfants? Comme cela. Tout douce

ment.

Avez-vous faim? Non, mais j'ai soif.-Tu as chaud et nous avons froid. Vous avez raison et il a tort. Vous avez huit

ans, mon ami, et vous avez peur de votre ombre! Il fait sombre.-Quel temps fait-il? Il fait beau. Il fait mauvais. -Fait-il chaud? Non, il fait froid.-Il se ait nuit. Faites attention. Il a fait banqueroute. Ce matelot a fait naufrage. Ceci est à vos frais et dépens. Ne désespérez pas, vous ferez des progrès.-Que vous reste-t-il? Trois francs et demi.—Que dira-t-on, si l'on en trouve? On nous grondera.-Il y a beaucoup de monde dans cet hôtel. Bien des gens s'imaginent que ce général est mort. Il est revenu de Paris.—Quand retournerez-vous à Londres? Le mois prochain.-Nous sommes partis de très-grand matin, et cependant nous ne sommes arrivés qu'à midi. Nous mourions de chaud, nous avions une très-grande faim, et une très-grande soif. Cet effet, qui me paraît très-naturel, ne me paraît pas fort nouveau. Les choses vont de mal en pis. Le remède est pire que le mal. Votre fils a tout dissipé, a tout mangé; et vous voulez lui tout pardonner! Il dit tout, il a tout expliqué.

Je vous prie de faire bien des compliments de ma part à mesdemoiselles vos nièces; elles sont toutes venues ici l'été dernier, et je désire beaucoup qu'elles reviennent l'été prochain. Recevez mes très-humbles remercîments pour la faveur qu'il vous a plu de me faire. Ils le veulent forcer à croire tout ce qu'il leur plaît. Il se plaît à mal faire. Elle se plaît dans ses larmes. -Vous servez-vous du Dictionnaire de l'Académie? Oui, je m'en sers.-Ce mot n'est guère usité. Cet habit est tout usé.Connaissez-vous cette règle? Je la sais.—Je connais monsieur votre oncle. Cela m'est égal. Comment pouvez-vous ajouter foi aux discours de cet homme? il en impose à tous ceux qui l'écoutent, et les trompe effrontément.-Les ennemis s'avancèrent contre cette troupe; mais la fière contenance de nos braves leur imposa: ils se retirèrent sans brûler une amorce. Qu'avez-vous à la main? Rien.-Songez à ce que vous faites. Je ne fais que d'entrer. Il ne fait que rire.-Que faut-il faire? Son devoir. Que vous faut-il? Il me faut de l'argent.

Avez-vous été chez lui? Oui, j'ai été chez lui deux fois.— Êtes-vous à même de le faire? Non, je ne le suis pas.-Vous avez beau dire et beau faire, je le veux. Faites-le faire sur-lechamp. Est-ce de l'argent comptant? à la bonne heure. Vous parlez à tort et à travers. Vous voulez m'en donner à garder. Je vous parle en ami. C'est à bon marché. Je l'ai échappé belle. Vous vouliez m'en faire accroire. Je n'en puis plus.—En avezvous besoin? Oui, j'en ai besoin.—Il ne tient qu'à vous de sortir. Il fait grand cas de cette nouvelle connaissance.

Vous vous

Jouons aux cartes. Il ne faut pas m'en vouloir. connaissez en tableaux. Mettez-vous au dessin.—À qui vous en prenez-vous? À vous, c'est votre gaucherie qui est cause de mon manque de réussite.-Cela va mal. J'en demeure d'accord. Allons, allons, dépêchez-vous. Jouez-vous au billard? Jamais. Il s'avisa de faire une demande singulière. Ne vous avisez pas de le croire. Cette femme a un bon caractère. Son élévation l'a mise en butte aux traits de l'envie. En tout cas, écrivez-lui. Si mes amies viennent, envoyez-moi chercher. Il s'est mis en condition.

Coup de tonnerre; coup de mer; coup de main; coup de fusil; coup de pistolet; coup de canon; coup de feu; coup d'œil; coup de dent; coup d'épée; coup de sabre; coup de bâton; coup de vin; coup de langue, etc.-Encore un coup, vous avez tort. Il a fait son droit à Paris. Quelle inconséquence nous avons commise!-BATTRE le tambour, les cymbales.-DONNER du cor.-JOUER du violon, de l'alto, de la basse, de la flûte, de la clarinette, du flageolet, du hautbois, du basson, et de tous les instruments.-PINCER de la harpe, de la guitare.-SONNER la trompette.-TOUCHER du piano, de l'orgue.

CONVERSATIONS FAMILIÈRES, NOMENCLATURES REMARQUABLES, LETTRES, ETC.

La rencontre.

Bonjour, mon ami. Monsieur, je vous salue.-Comment vous portez-vous? Très-bien, je vous remercie ; et vous? Tout doucement, comme à l'ordinaire.--D'où venez-vous donc ? Je viens de la bourse.-Et où allez-vous? Je vais à la banque. Je vous rencontre à propos, j'allais chez vous. Pour quelle affaire ?-Je voulais vous demander des nouvelles. Des nouvelles! de qui donc ? De votre oncle.—Lequel? vous savez que j'en ai deux.-Celui qui est actuellement à Paris. J'en attends ce soir; faites-moi le plaisir de passer chez moi demain matin, je vous ferai voir ce que j'aurai reçu. --Je vous remercie, je n'y manquerai pas. Sans adieu.

La visite.

Madame, je vous souhaite le bonjour.-Que je suis aise de cette visite! Asseyez-vous, je vous prie. Il y a bien longtemps

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