...indispensables de sa composition. Et tout cela vient d'être révélé par cette gracieuse îangue française , parvenue à un si haut degré de perfection...(Madame de Chézy), que nous comptons parmi nous, dont f absence vous est si douloureuse, et sur laquelle vous vous exprimez avec une sensibilité si touchante....

...sentiments. Je l'aurais encore choisie pour vous écrire quand même je n'aurais pas eu cette persuasfon que vous vous êtes entièrement pénétré de l'esprit...reconnaissance et d'obligations , W. GOETHE. Extrait du Tekouim Vak'aï, journal officiel imprimé en turc à Constantinople , en date des derniers jours du mois de...

...cette persuasion, que vous êtes entièrement pénétré de l'esprit de notre langue et du charactère de notre nation dans ces aimables relations avec une...vous exprimez avec une sensibilité si touchante. Dr. med. in grontfurt o. SW., über ©oetïje ¡jur geier feines fiebjigften ©eburtëfefteâ bem greife...

...cette persuasion, que vous ites entièrement pénétré de l'esprit de notre langue et du charactère de notre nation dans ces aimables relations avec une...vous exprimez avec une sensibilité si touchante. Dr. med. in granffuvt a. 401., beginnt feine Sdjrift „©oetíje alâ Siaturforfdjer. gtanffurt o....

...cette persuasion, que vous êtes entièrement pénétré de l'esprit de notre langue et du charactère de notre nation dans ces aimables relations avec une...(Madame de Chézy), que nous comptons parmi nous, dout l'absence vous est si douloureuse et sur laquelle vous vous exprimez avec une sensibilité si...

...cette persuasion, que vous êtes entièrement pénétré de l'esprit de notre langue et du charactère de notre nation dans ces aimables relations avec une épouse chérie (Madame de Chézj), que nous comptons parmi nous, dont l'absence vous est si douloureuse et sur laquelle vous...

...cette persuasion, que vous êtes entièrement pénétré de l'esprit de notre langue et du charactère de notre nation dans ces aimables relations avec une...vous exprimez avec une sensibilité si touchante. 1817. * 29. October 1830. ©u tí)uft mir einen roaljren Çreunbfciiaftêbtenfi, wenn lu mir manájmaí...