Souvenirs de la marquise de Créquy, 1710 à 1802 [by M. Cousin].1836 |
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FRE-SOUVENIRS DE LA MARQUISE D, Том 2 Maurice Cousin,Renee Caroline (De Froulay) Ma Crequy Попередній перегляд недоступний - 2016 |
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Загальні терміни та фрази
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Популярні уривки
Сторінка 134 - La principale force des brigands est dans le fanatisme que leurs chefs leur inspirent. Il faut les arrêter, et dissoudre ainsi d'un seul coup cette association monarchique qui nous perdra si nous ne nous hâtons pas de la prévenir. «Mais il ne faut pas perdre de vue, cher collègue, que l'opinion nous devient chaque jour plus contraire , et plus nécessaire que la force.
Сторінка 20 - Convaincus qu'il n'ya d'innocent dans cette infâme cité que celui qui fut opprimé ou chargé de fers par les assassins du peuple, nous sommes en défiance contre les larmes du repentir; rien ne peut désarmer notre sévérité.
Сторінка 110 - Et la beauté du fils aurait trahi la mère. Aujourd'hui plus d'amis, de sujets, de vengeur ; Chaque jour dans son sein verse un poison rongeur. Quelles mains ont hâté son atteinte funeste? Le monde apprit sa fin, la tombe sait le reste.
Сторінка 105 - Quelle est cette lenteur barbare? Hâte-toi, peuple souverain; De rendre aux monstres du Ténare Tous ces buveurs de sang humain! Guerre à tous les agens du crime! Poursuivons-les jusqu'au trépas; Partage l'horreur qui m'anime, Ils ne nous échapperont pas.
Сторінка 21 - ... avaient élevé sera anéanti; et sur les débris de cette ville superbe et rebelle, qui fut assez corrompue pour demander un maître, le voyageur verra avec satisfaction quelques monuments simples, élevés à la mémoire des martyrs de la liberté , et des chaumières éparses que les amis de l'égalité s'empresseront de venir habiter, pour y vivre heureux des bienfaits de la nature.
Сторінка 152 - cet abîme de malheurs, il est de notre « intérêt le plus pressant, comme de notre « devoir, de pourvoir à notre défense et « d'employer tous les moyens dont nous « pouvons disposer pour nous préserver « de la rage de ces hommes pervers ! Braves « camarades! nous n'avons plus ni paix ni « trêve à attendre de la Convention ; il ne « nous reste que la victoire ou la mort. « Si nous sommes destinés à succomber , « que notre dernier soupir soit du moins « utile à notre patrie. «...
Сторінка 105 - Fait en vain pâlir vos bourreaux. Voyez déjà comme ils frémissent, Ils n'osent fuir, les scélérats... Les traces du sang qu'ils vomissent Décèleraient bientôt leurs pas. Oui, nous jurons sur votre tombe, Par notre pays malheureux, De ne faire qu'une hécatombe De ces cannibales affreux.
Сторінка 153 - que nous servons. « Les légions de la Convention vont s'avancer « sur nos frontières , braves camarades ! Ce sont ces « mêmes légions que vous avez si souvent vaincues « et qui viennent combattre malgré elles contre « leurs frères, contre leurs amis. Épargnons au...
Сторінка 64 - Je ne peux assez exprimer combien j'étais édi« fié de sa résignation , de ses gémissemens , de ses « désirs surnaturels de tout souffrir dans ce monde « et dans l'autre pour l'expiation de ses péchés, « desquels il me demanda une seconde et dernière « absolution au pied de l'échafaud. Voilà, M. l'Abbé « Sicard, de quoi vous pouvez, en toute sûreté, as« surer cette pieuse épouse, pour la tranquilliser à « cet égard (\) Signé, LOTHRINGER, Prêtre catholique.
Сторінка 63 - Duc d'Orléans alors se mettant à «genoux, me demanda s'il avait encore « assez de temps pourfaire une confession « générale. Je lui dis que oui et que per« sonne n'était en droit de l'interrompre, « et il fit une confession générale de toute « sa vie. « Après sa confession , il me demanda « avec un repentir vraiment surnaturel , « si je croyais que Dieu pouvait le rece« voir au nombre de ses élus?..'...