| Jean François Marmontel - 1804 - 346 стор.
...d'abondance, je ne puis exprimer quel charme avoit en lui l'éloquence du sentiment. Tonte son âme était dans ses yeux , sur ses lèvres. Jamais physionomie n'a mieux peint la bouté du eœur. Je ne vous parle point de ceux de nos amis que vous venez de voir sous l'œil de Mme.... | |
| Jean-François Marmontel - 1805 - 326 стор.
...yeux, sur «es lèvres. Jamais physionomie n'a mieux.peint la bouté du cœur. je ne vous .parle peint de ceux de nos amis que vous venez de voir sous l'œil de Mme. Geoffrin, et soumis à sa discipline. Chez le baron d'Holbach et chez Helvétius, ils étoient... | |
| François-Joseph-Marie Fayolle - 1807 - 360 стор.
...d'abondance, je ne puis exprimer quel charme avoit en lui l'éloquence du sentiment : toute son ame étoit dans ses yeux , sur ses lèvres ; jamais physionomie n'a mieux peint la bonté du cœur. ( Mém. de Marmontel. ) SÉANCE DE MNÉMONIQUE. APRÈS les victoires des armées et les nouvelles politiques... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 604 стор.
...bonté morale , l'éloquence du sentiment avoit eu lui un charme particulier. Toute son âme éloit dans ses yeux , sur ses lèvres : jamais physionomie n'a mieux peint la bonté du cœur. » 11 a paru en 1810 une petite brochure sur Diderot, intitulée Diclérotiana , par M. Cousin d'Avallon... | |
| Pierre Gourju - 1816 - 470 стор.
...des boyaux du dernier prêtre Serrons le cou du dernier roi. « Toute son ame étoit dans ses yeux et sur ses » lèvres : jamais physionomie n'a mieux peint la » bonté du cœur. » (Mém. de Marm., /. 7, t. 2 , A». 54.) Tous les philosopl1es poussèrent un cri d'admiration. Pourquoi,... | |
| Jean François Marmontel - 1819 - 854 стор.
...je ne puis exprimer quel charme avait en lui l'éloquence du sentiment. Toute son âme était daas .ses yeux , sur ses lèvres. Jamais physionomie n'a...point de ceux de nos amis que vous venez de voir sous l'oeil de madame Geoffrin , et soumis à sa discipline. Chez le baron d'Holbach et chez Helvétius... | |
| J. B. Maigrot - 1837 - 676 стор.
...touchait à la bonté morale, l'éloquence dusentimentavait enluiun charme particulier. Toute son âme était dans ses yeux, sur ses lèvres -, jamais physionomie n'a mieux, peint la bonté du cœur. » Cet éloge dicté par l'amitié qui unissait les deux écrivains n'a point passé sans contestation;... | |
| Jean-François Marmontel - 1850 - 452 стор.
...d'abondance, je ne puis exprimer quel charme avait en lui l'éloquence du sentiment. Toute son âme était dans ses yeux, sur ses lèvres. Jamais physionomie...baron d'Holbach et chez Helvétius , ils étaient a leur aise , et d'autant plus aimables ; car l'esprit , dans ses mouvements, ne peut bien déployer... | |
| Alphonse Jobez - 1867 - 596 стор.
...d'abondance, je ne puis exprimer quel charme avait en lui l'éloquence du sentiment. Toute son âme était dans ses yeux, sur ses lèvres. Jamais physionomie n'a mieux peint la bonté du cœur. » Morellet, qui avait été lié avec lui dans sa jeunesse, s'exprime ainsi : « La conversation de... | |
| Jules Romain Barni - 1867 - 528 стор.
...à la bonté morale, l'éloquence du sentiment, avait en lui un charme particulier. Toute son âme était dans ses yeux, sur ses lèvres ; jamais physionomie n'a mieux peint la bonté du cœur. » Tous les témoignages contemporains que l'on peut consulter sur ce point s'accordent avec celui... | |
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