| Claude François Beaulieu - 1803 - 452 стор.
...sa péroraison. Tronchet et moi, «nous en fûmes touchés jusqu'aux larmes. « Le roi lui dit : il faut la supprimer, je ne « veux pas les attendrir....seuls, ce prince « me dit : J'ai une grande peine : Desèze a et Tronchet ne me doivent rienj ils me « donnent leur temps, leur travail, peut-être... | |
| Louis Mayeul Chaudon, Antoine François Delandine - 1804 - 660 стор.
...touchés jusqu'aux larmes. Le roi lui dit : il faut la supprimer , je ne veux pas les attendrir. — r- Une fois que nous étions seuls , ce prince me dit : j'ai une grande peine ! Desèze et Troa-. chet ne me doivent rien ; ils me donnent leur temps , leur travail , peut-^être... | |
| Louis Mayeul Chaudon, Antione François Delandine - 1810 - 618 стор.
...pathétique que sa péroraison. Nous fûmes touchés jusqu'aux larmes. Le roi lui dit : a 11 i'aut la supprimer , je ne veux pas les attendrir. » Une...seuls , ce prince me dit : «J'ai une grande peine ! Desèze et Tronchet ne me doivent rien ; ils me donnent leur temps , leur travail , peut-être lt-u... | |
| Louis Mayeul Chaudon - 1810 - 594 стор.
...plus pathétique que sa péroraison. Nous fûmes touchés jusqu'aux larmes. Le roi lui dit : « 11 faut la supprimer , je ne veux pas les attendrir. » Une fois que nous étions seuls , re prince me dit : «J'ai une grande peine ! Desèze et Tronchet ne me doivent rien ; ils me donnent... | |
| 1815 - 310 стор.
...rien entendu de plus pathétique que sa péroraison. Nous fûmes touchés jusqu'aux larmes. Le roi lui dit : « II faut la supprimer, je ne veux pas les...». Une fois que nous étions seuls , ce prince me dij : « J'ai une grande » peine ! Desèze et Tronchet ne me doi» vent rien ; ils me donnent leur... | |
| François Babié de Bercenay, Sulpice Imbert comte de La Platière - 1817 - 518 стор.
...jusqu'aux larmes ; le roi lui dit : « II faut la supprimer, je ne veux point les attendrir. » Une autre fois que nous étions seuls , ce prince me dit: « J'ai une grande peine; Desèze etTronçhet ne me doivent rien ; ils me donnent leur temps, leur travail, et peut-être leur... | |
| 1820 - 596 стор.
...jusqu'aux larmes. Le roi lui dit : « II faut la sup» primer , je ne veux pas les attcnB drir. » Une fois que nous étions seuls , ce prince me dit : « J'ai une D grande peine! Desèze et Tronchet » ne me doivent rien; ils me don» lient leur temps, leur travail,... | |
| André Morellet - 1822 - 552 стор.
...fûmes touchés jusqu'aux larmes. Le roi dit : il faut la supprimer; je ne veux pas les altendrir. i Une fois que nous étions seuls, ce prince me dit...voulu ni dignités , ni fortune. Je vous ai appelé au mini*1ère. Je sais que vous ne le souhaitiez pas ; mais c'était le témoignage le plus distingué... | |
| 1823 - 532 стор.
...fûmes touchés jusqu'aux larmes. Le roi dit : il faut la supprimer; je ne veux pas les attendrir. x Une fois que nous étions seuls , ce prince me dit...de regret de ne rien faire pour vous; vous n'avez jamaisvoulu ni dignités , ni fortune. Je vous ai appelé au mini.» 1ère. Je sais que vous ne le... | |
| André Morellet - 1823 - 550 стор.
...fûmes touchés jusqu'aux larmes. Le roi dit : il faut la supprimer; je ne veux pas les attendrir. a Une fois que nous étions seuls , ce prince me dit...grande peine. — Quelle est-elle? — Je n'ai point «Je regret de ne rien faire pour vous; vous n'avez jaimi:-; voulu ni dignités, ni fortune. Jo vous... | |
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