| Antoine Etienne Nicolas Fantin des Oduards - 1801 - 476 стор.
...que nous conserverions tous les signes de ralliement sous lesquels nous avions combattu jusqu'alors. Quelle était notre joie , à cette époque , de penser...le repos allait enfin être rendu à notre patrie, et que le sang, répandu par nos mains , devait rétablir le culte de notre Dieu et le trône de notre... | |
| Antoine Étienne N. Fantin Desodoards - 1817 - 400 стор.
...sur notre territoire , et de conserver les signes de ralliement sous lesquels nous avions combattu. Quelle était notre joie à cette époque de penser que le repos allait être rendu à notre patrie , et que le sang répandu par nos mains devait rétablir le culte de notre... | |
| Antoine Fantin-Desodoards - 1817 - 404 стор.
...sur notre territoire , et de conserver les signes de ralliement sous lesquels nous avions combattu. Quelle était notre joie à cette époque de penser que le repos allait être rendu à notre; patrie , et que le sang répandu par nos mains ' devait rétablir le culte de... | |
| Antoine Fantin-Desodoards, Antoine Étienne Nicolas Fantin des Odoards - 1820 - 410 стор.
...sur notre territoire , et de conserver les signes de ralliement sous lesquels nous avions combattu. Quelle était notre joie à cette époque' de penser que le .repos allait être rendu à notre' patrie , et que le sang répandu par nos mains • devait rétablir le culte... | |
| comte de Courchamps - 1835 - 418 стор.
...ralliement sous lesquels « nous avions combattu jusqu'à ce jour. «Les soi-disant représentan s du peuple « nous laissèrent les maîtres d'agir, avec « les Vendéens et les Chouans, de la ma« nière que nous croirions la plus con« venable à l'intérêt géjiéral. Quelle était « notre... | |
| comte de Courchamps - 1835 - 414 стор.
...d'agir, avec « les Vendéens et les Chouans , de la maec nière que nous croirions la plus con« venable à l'intérêt général. Quelle était « notre joie, à cette époque, de penser « que le repos pouvait enfin être rendu à « notre patrie, quenos victoires pouvaient « opérer sa délivrance... | |
| Maurice Cousin - 1836 - 426 стор.
...ralliement sous lesquels « nous avions combattu jusqu'à ce jour. « Les soi-disant représentans du peuple « nous laissèrent les maîtres d'agir, avec « les Vendéens et les Chouans, de la ma« njère que nous croirions la plus con« venable à l'intérêt général. Quelle était « notre... | |
| Jacques Crétineau-Joly - 1840 - 520 стор.
...vérité de ce que nous avançons aujourd'hui. « Une heure seulement avant la signature du traité de paix, il fut convenu que les conditions ci-dessus...l'intérêt général. « Quelle était notre joie à celte époque de penser que le repos allait enfin être rendu à notre patrie , que nos victoires devaient... | |
| comte de Courchamps - 1840 - 520 стор.
...ralliement « sous lesquels nous avions combattu jusqu'à ce « jour. Les soi-disant représentans du peuple nous « laissèrent les maîtres d'agir,...joie, à cette époque, de penser que le « repos pouvait enfin être rendu à notre patrie, « que nos victoires pouvaient opérer sa délivrance, «... | |
| comte de Courchamps - 1840 - 512 стор.
...ralliement « sous lesquels nous avions combattu jusqu'à ce « jour. Les soi-disant représentons du penple nous « laissèrent les maîtres d'agir, avec les...manière que nous croirions « la plus convenable à l'iniérét général. Quelle « était notre joie, à cette époque, de penser que le « repos pouvait... | |
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