Œuvres complètes, revues par J. Assézat (et M. Tourneux).1876 |
Загальні терміни та фрази
actions âmes anciens animaux arts assez aurait auteurs avaient canon caractère casuistes célibat cent Chaldée Chaldéens Chinois choses chrétiens christianisme chronologie citoyens commun Confucius connaissances conséquent considération corps cyniques cyrénaique d'autres d'où il s'ensuit Démocrite démons dictionnaire Dieu dieux différents disciples divins donner éclectiques Égypte Égyptiens Encyclopédie Épicure espèce esprits état eût femmes François Ier général gens goût Gram Grecs hébreu Hist hommes humain idées infinité intelli jamais Jamblique Jésus-Christ jugement Juifs l'âme l'éclectisme l'Égypte l'esprit l'Esprit des Lois l'histoire l'homme l'univers langue Leucippe livres lois matière Mencius ment Moïse monde morale mouvement n'en n'était nation nature naturelle nombre objets ouvrage paganisme particulier passer patriarche peinture penser père personne peuple philosophie physique Platon Plotin poëte presque prêtres qu'un qualités raison rapport religion reste rien Romains s'en s'il saint saint Étienne science secte sentir serait seul siècle société Socrate sort système termes terre Tharé théurgie tion vérité vertu Xénophane
Популярні уривки
Сторінка 158 - Chose admirable! la religion chrétienne, qui ne semble avoir d'objet que la félicité de l'autre vie , fait encore notre bonheur dans celle-ci.
Сторінка 159 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Сторінка 152 - ... les droits de la défense naturelle ; plus ils croiraient devoir à la religion, plus ils penseraient devoir à la patrie. Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Сторінка 150 - Les richesses particulières n'ont augmenté que parce qu'elles ont ôté à une partie des citoyens le nécessaire physique; il faut donc qu'il leur soit rendu. Ainsi, pour que l'état monarchique se soutienne, le luxe doit aller en croissant, du laboureur à l'artisan, au négociant, aux nobles, aux magistrats, aux grands seigneurs, aux traitants principaux, aux princes, sans quoi tout seroit perdu.
Сторінка 300 - Si vous méditez donc attentivement tout ce qui précède, vous resterez convaincu ; 1° que l'homme qui n'écoute que sa volonté particulière est l'ennemi du genre humain ; 2° que la volonté générale est dans chaque individu un acte pur de l'entendement qui raisonne dans le silence des passions sur ce que l'homme peut exiger de son semblable, et sur ce que son semblable est en droit d'exiger de lui...
Сторінка 399 - Phalaris toute espérance de connaître le fond de la conjuration, il se coupa la langue avec les dents, et la cracha au visage du tyran. Mais quelque honneur que la philosophie puisse recueillir de ces faits, nous ne pouvons nous en dissimuler l'incertitude.
Сторінка 299 - C'est à la volonté générale que l'individu doit s'adresser pour savoir jusqu'où il doit être homme, citoyen, sujet, père, enfant, et quand il lui convient de vivre et de mourir.
Сторінка 231 - ... où cette observation distingue celui qui sait écrire et penser de celui qui croit le savoir. En un mot, on ne doit passer à un auteur de pécher contre la correction du style que lorsqu'il ya plus à gagner qu'à perdre. L'exactitude tombe sur les faits et les choses; la correction sur les mots. Ce qui est écrit exactement dans une langue, rendu fidèlement, est exact dans toutes les langues.
Сторінка 297 - Mais qu'est-ce que la justice? C'est l'obligation de rendre à chacun ce qui lui appartient. Mais qu'est-ce qui appartient à l'un plutôt qu'à l'autre dans un état de choses où tout serait à tous, et où peut-être l'idée distincte d'obligation n'existerait pas encore? et que devrait aux autres celui qui leur permettrait tout, et ne leur demanderait rien? C'est ici que le philosophe commence à sentir que de toutes les notions de la morale, celle du droit naturel est une des plus importantes...
Сторінка 86 - Entre ces êtres, si l'on considère les animaux, quelle que soit l'espèce d'animal qu'on prenne, quel que soit l'individu de cette espèce qu'on examine, on y remarquera une variété prodigieuse dans leurs parties, leurs fonctions, leur organisation, etc.