Caractères et paysagesMame-Delaunay, 1833 - 417 стор. |
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Сторінка 17
... taisaient , et tous suivaient l'ordre de cette voix grave , Nul ne discutait devant lui . Je l'ai vu faire du bien sans émotion , et se montrer sévère jus- qu'à la dureté la plus inflexible , sans témoigner un 2 EN ANGLETERRE . 17.
... taisaient , et tous suivaient l'ordre de cette voix grave , Nul ne discutait devant lui . Je l'ai vu faire du bien sans émotion , et se montrer sévère jus- qu'à la dureté la plus inflexible , sans témoigner un 2 EN ANGLETERRE . 17.
Сторінка 44
... voix sourde et mo- notone des pigeons qui ramassent , en caquetant , leur grain sur le carreau . Il y a une petite table de bois blanc vers la droite , et un large coffre de chêne tout à ' côté . L'homme assis à cette petite table , c ...
... voix sourde et mo- notone des pigeons qui ramassent , en caquetant , leur grain sur le carreau . Il y a une petite table de bois blanc vers la droite , et un large coffre de chêne tout à ' côté . L'homme assis à cette petite table , c ...
Сторінка 50
... voix aiguë , et , au milieu du vers , s'arrêter pour dire : " ) ) - Comment dînerez - vous aujourd'hui ? » Voici un fait dont il n'a pu chasser le pénible souvenir . Certain jour qu'il était plus éloquent et plus poétique qu'à l ...
... voix aiguë , et , au milieu du vers , s'arrêter pour dire : " ) ) - Comment dînerez - vous aujourd'hui ? » Voici un fait dont il n'a pu chasser le pénible souvenir . Certain jour qu'il était plus éloquent et plus poétique qu'à l ...
Сторінка 69
... voix tremblante il lui dit : Allez donner cela aux musiciens . A peine les derniers mots fu- rent intelligibles . La clarté des bougies de la mai- son située en face frappait le visage de Lenette ; elle avait , à son approche , affecté ...
... voix tremblante il lui dit : Allez donner cela aux musiciens . A peine les derniers mots fu- rent intelligibles . La clarté des bougies de la mai- son située en face frappait le visage de Lenette ; elle avait , à son approche , affecté ...
Сторінка 70
... recommen- cèrent ; la voix et la flûte seules chantèrent « Les morts sont morts , c'en est fait pour toujours ! D » Une angoisse nouvelle le saisit comme un lin- ceul de glace . Il pressa le mouchoir sur ses 70 ÉTUDES.
... recommen- cèrent ; la voix et la flûte seules chantèrent « Les morts sont morts , c'en est fait pour toujours ! D » Une angoisse nouvelle le saisit comme un lin- ceul de glace . Il pressa le mouchoir sur ses 70 ÉTUDES.
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Популярні уривки
Сторінка 248 - Desiring this man's art and that man's scope, With what I most enjoy contented least ; Yet in these thoughts myself almost despising, Haply I think on thee, and then my state, Like to the lark at break of day arising From sullen earth, sings hymns at heaven's gate; For thy sweet love remember'd such wealth brings That then I scorn to change my state with kings.
Сторінка 248 - That time of year thou mayst in me behold When yellow leaves, or none, or few, do hang Upon those boughs which shake against the cold, Bare ruin'd choirs, where late the sweet birds sang. In me thou seest the twilight of such day As after sunset fadeth in the west, Which by and by black night doth take away, Death's second self, that seals up all in rest.
Сторінка 248 - In me. thou see'st the twilight of such day As after sunset fadeth in the west ; Which by and by black night doth take away, Death's second self, that seals up all in rest. In me thou see'st the glowing of such fire That on the ashes of his youth doth lie, As the death-bed whereon it must expire, Consumed with that which it was nourish'd by.
Сторінка 44 - Les solives noires sillonnent le plafond jaune. Des pigeons domestiques voltigent çà et là , en murmurant leur roucoulement mélancolique. Une vieille femme, armée de ses lunettes, tricote des bas auprès du poêle : une jeune femme fait la cuisine près de la grande fenêtre à gauche ; le cliquetis des ustensiles de ménage se mêle , sans s'accorder, avec la voix sourde et monotone des pigeons qui ramassent, en caquetant, leur grain sur le carreau.
Сторінка 44 - L'homme assis à cette petite table , c'est JeanPaul-Frédéric Richter, génie admirable , un Sterne si vous voulez , un Rabelais s'il vous plaît encore , quelque chose de plus ou de moins que tout cela , le plus original des écrivains modernes. Il est enveloppé d'une grosse redingote dont la boutonnière est ornée d'une fleur des champs. Observez ses traits, c'est une étude...
Сторінка 46 - C'est un chaos de parenthèses , d'ellipses , de sous-entendus ; un carnaval de la pensée et du langage; une population de mots nouveaux qui viennent sous le bon plaisir de l'auteur, prendre droit de bourgeoisie dans le discours; des périodes de trois pages...
Сторінка 217 - ... ces souverains, astres égaux, confondre leurs rayons par leur présence. Il n'y avait pas de langue calomniatrice qui osât remuer, pas d'œil qui ne fût ébloui de ces spectacles. Puis il fallait voir le tournoi et les hérauts d'armes, et les prouesses de chevalerie qui furent faites. La vieille histoire de nos romanciers a cessé d'être fabuleuse. Oui, je croirai désormais tout ce que les conteurs nous rapportent. » Ces lignes d'un poète immortel, je les...
Сторінка 248 - When, in disgrace with Fortune and men's eyes, I all alone beweep my outcast state And trouble deaf heaven with my bootless cries And look upon myself and curse my fate.
Сторінка 44 - Des pigeons domestiques voltigent çà et là en murmurant leur roucoulement mélancolique. Une vieille femme , armée de ses lunettes, tricote des bas auprès du poêle : une jeune femme fait la cuisine près de la grande fenêtre à gauche ; le cliquetis des ustensiles de ménage se mêle, sans s'accorder, avec la voix sourde et monotone des pigeons qui ramassent, en caquetant, leur grain sur le carreau. Il ya une petite table de bois blanc vers la droite et un large coffre debout à côte.
Сторінка 125 - ... un mélange de pitié et de douleur? Si l'on considère Jean-Paul sous le rapport de l'art et de l'exécution , il reste inférieur à Cervantes. La fusion, l'ensemble, la cohérence, manquent aux productions de Richter. Leur lecture laisse une impression confuse et hétérogène ; le Voyage de l'aumônier Schmelzle est une de celles où l'unité , la grande loi des œuvres de l'esprit, est le moins hardiment violée. De ce chaos de pensées et de sentimens jaillissent , comme d'un fer embrasé...