Feuilles volantes: recueil d'études et d'articles de journauxImp. par W.T. Mason, 1890 - 516 стор. |
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Feuilles Volantes: Recueil d'Études Et d'Articles de Journaux (Classic Reprint) Charles Savary Попередній перегляд недоступний - 2018 |
Feuilles Volantes: Recueil d'Études Et d'Articles de Journaux (Classic Reprint) Charles Savary Попередній перегляд недоступний - 2016 |
Загальні терміни та фрази
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Популярні уривки
Сторінка 71 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence. D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la muse aux règles du devoir.
Сторінка 141 - De moi, déjà deux fois d'une pareille foudre Je me suis vu perclus, Et deux fois la raison m'a si bien fait résoudre Qu'il ne m'en souvient plus. Non qu'il ne me soit grief...
Сторінка 139 - Las ! voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! O vraiment marâtre nature, Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne En sa plus verte nouveauté, Cueillez, cueillez votre jeunesse : Comme à cette fleur, la vieillesse Fera ternir votre beauté.
Сторінка 141 - C'est bien, je le confesse, une juste coutume Que le cœur affligé, Par le canal des yeux vidant son amertume, Cherche d'être allégé. Même quand il advient que la tombe sépare Ce que nature a joint, Celui qui ne s'émeut a l'âme d'un barbare, Ou n'en a du tout point. Mais...
Сторінка 140 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et, rose, elle a vécu ce que vivent les roses. L'espace d'un matin.
Сторінка 97 - Demandant aux forêts, à la mer, à la plaine, Aux brises du matin, à toute heure, à tout lieu, La femme de ton âme et de ton premier vœu ! Prenant pour fiancée un rêve, une ombre vaine, Et fouillant dans le cœur d'une hécatombe humaine, Prêtre désespéré, pour y chercher ton Dieu. XLV Et que voulais-tu donc ? — Voilà ce que le monde Au bout de trois cents ans...
Сторінка 144 - Oui , prince , je languis , je brûle pour Thésée : Je l'aime, non point tel que l'ont vu les enfers, Volage adorateur de mille objets divers , Qui va du dieu des morts déshonorer la couche; Mais fidèle, mais fier, et même un peu farouche, Charmant , jeune , traînant tous les cœurs après soi , Tel qu'on dépeint nos dieux , ou tel que je vous voi.
Сторінка 206 - Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu mourir, Partout où j'ai touché la terre, Sur ma route est venu s'asseoir Un malheureux vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Сторінка 234 - Aussi de ces objets l'âme n'est point émue, Et même rarement ils contentent la vue. Quand j'entends le sifflet, je ne trouve jamais Le changement si prompt que je me le promets : Souvent au plus beau char le contre-poids résiste ; Un dieu pend à la corde...
Сторінка 68 - Comme dans une lampe une flamme fidèle, Au fond du Parthénon le marbre inhabité Garde de Phidias la mémoire éternelle, Et la jeune Vénus, fille de Praxitèle, Sourit encor, debout dans sa divinité, Aux siècles impuissants qu'a vaincus sa beauté.