De l'accord de la philosophie avec la religionchez Maradan, 1801 - 211 стор. |
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Сторінка 113 - L'existence de la divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois; voilà les dogmes positifs.
Сторінка 113 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas ; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
Сторінка 113 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle. Sans pouvoir obliger personne à les croire, il...
Сторінка 123 - L'homme,x en entrant dans le monde, n'est qu'une masse organisée et sensible; il reçoit de tout ce qui l'environne et de ses besoins cet esprit qui sera peut-être celui d'un Locke ou d'un Montesquieu, ce génie qui maîtrisera les éléments et mesurera les cieux. « L'homme est sensible au plaisir et à la...
Сторінка 64 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens, que la nature humaine ne saurait assez reconnaître.
Сторінка 114 - Je ne sais pourquoi l'on veut attribuer au progrès de la philosophie la belle morale de nos livres. Cette morale, tirée de l'Évangile, étoit chrétienne avant d'être philosophique.
Сторінка 87 - ... Ainsi notre commerce reprendra le rang qui lui est dû ; ainsi se fortifieront les liens qui attachent à notre cause les peuples éclairés du continent de l'Europe; ainsi...
Сторінка 183 - Il ne faut pas laisser au jugement de chacun la connaissance de son devoir; il le lui faut prescrire, non pas le laisser choisir à son discours; autrement, selon l'imbécillité et variété infinie de nos raisons et opinions, nous nous forgerions enfin des devoirs qui nous mettraient à nous manger les uns les autres, comme dit Épicure.
Сторінка 65 - Ils sentiraient très-bien les droits de la défense naturelle. Plus ils croiraient devoir à la religion , plus ils penseraient devoir à la patrie. Les principes du christianisme , bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts , que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Сторінка 62 - Montesquieu, a tout en paroissant n'avoir « d'autre objet que la félicité de l'autre « vie ,. elle fait encore notre bonheur