Зображення сторінки
PDF
ePub

Il ventoso.

Monodrama. Cranmer recanting his recantation in St. Mary's, Oxford.

The Shangalla woman wooing another wife for her husband.—BRUCE, vol. 2. This is an interesting subject, and the circumstances of these poor savages are very striking for poetry.

Monodrama. Florinda addressing her father, Count Julian, before she threw herself from the tower at Malaga.

Love verses. Advice to a poet.

My considering cap. All possible headcoverings. The powdered head-the mitre -the three-tailed wig-the judges'-the helmet.

[ocr errors]

A poem is possible upon a candle with vous signifier et escrire ce que al honneur unhackneyed thoughts. Its wasting by de nostre dicte mere saincte eglise, fortiffiagitation. Its danger out of doors. And, cacion de nostre foy, et extirpacions derpolitically considered, not forgetting the reurs pestilencieuses a este en ceste nostre snuffers. As the flame to the candle, so ville de Rouen fait ja na gueres solennelleperception to the body. The student. Thy ment. Il est assez commune renommee ja fate is to give light and waste away. comme par tout divulguee comment celle femme qui se faisoit nommer Jehanne la pucelle erronnee sestoit deux ans et plus, contre la loy divine et lestat de son sexe femenin, vestue en habit dhomme, chose a dieu abhominable. Et en tel estat transportee devers nostre ennemy capital et le vostre; auquel et a ceulx de son party, gens deglise, nobles, et populaires donna souvent a entendre quelle estoit envoyee de par Dieu en soy presumptueusement vantant quelle avoit communicacion personelle et visible avecques Saint Michel et grande multitude danges et de sainctz de Padis comme Saincte Katherine et Saincte Marguerite. Par lesquelz faulx donne a entendre et lesperance quelle promectoit de victoires futures divertit plusieurs erreurs dhommes et de femmes de la verite et les convertist a fables et mensonges. Se vestist aussi darmes applicquees pour chevaliers et escuieres, leva lestandart. Et en trop grant oultrage, orgueil et presumpcion demanda avoir et porter les tresnobles et excellentes armes de France, ce que en partie elle obtint. Et les porta en plusieurs courses et assaulx, et ses freres, comme on dit Lestass avoir ung escu a deux fleurs de lys dor a champ dazur, et une espee la poincte en haulte ferve en une couronne. En cest estat sest mise aux champs, a conduit gens darmes et de traict en exercite et grans compaignies pour faire et exercer cruaultez inhumaines, en espandant le sang humain, en faisant sedicions et commocions de peuple, le induisant a pariuremens, rebellions supersticions et faulses creances, en perturbant toute vray paix et renouvellant guerre mortelle, en se souffrant honnorer et reverer de plusieurs comme femme sainctifiee, et autrement damnablement oeuvrant en divers cas longs a exprimer, qui toutesvoies ont este en plusieurs lieux assez

Laudanum visions. I saw last night one figure whose eyes were in his spectacles; another, whose brains were in his wig. A third devil whose nose was a trumpet.

Laver; how it was ambrosia, which when Jupiter came for Europa was evolved through all the intestinal government.

Pharmaceutic ode-over-reaching, moving the bowels, getting at the bottom of a subject.

The bird over the gate screams, for a year of famine is at hand. A witch is gone to the Well of Rogoes, and caught the dew that was to make the Nile rise.

Lettres envoyees
de par le Roy d'Angleterre
au Duc de Burgongne.-MONSTRELLET,
fueillet, 70.

TRESCHIER et tresayme oncle. La fervente dilection que scavons vous avoir, comme vray catholique, a nostre mere saincte eglise et lexaltation de nostre saincte foy, raisonnablement nous exhorte et admoneste de

cogneues, dont presquetoute la chrestienté | cion, desquelz trouverent lesditz juges icelle

a este toute scandalisee. Mais la divine puissance, ayant pitie de son peuple loyal qui ne la longuement voulu laisser en peril, ne souffert demourer esvaines perilleuses et nouvelles crudelitez ou ja legierement se mectoit a vouloir permectre sa grant misericorde et clemence que ladicte femme ayt este prinse en vostre host et siege que teniez lors de par nous devant Compiegne, et mise par vostre bon moyen en nostre obeyssance and dominacion. Et pour ce que deslors fusmes requis par levesque au diocese duquel elle avoit este prinse, que icelle Jehanne nottee et diffamee de crimes de leze majeste divine luy fissions delivrer comme a son juge ordinaire ecclesiastique. Notant pour la reverence de nostre mere saincte eglise, de laquelle voulons les ordonnances preferer a noz propres faitz et voulentez comme raison est, comme aussi pour lhonneur et exaltacion de nostre dicte saincte foy, luy fismes bailler ladicte Jehanne affin de luy faire son proces, sans en vouloir estre prinse par les gens et officiers de nostre justice seculiere aucune vengeance ou punicion ainsi que faire nous estoit raisonnablement licite, attendu les grans dommages et inconveniens, les horribles homicides et detestables cruaultez et autres maulx innumerables qui elle avoit commis a lencontre de nostre seigneurie et loyal peuple obeyssant. Lequel evesque adioint avecques luy le vicaire et de linquisiteur des erreurs et heresies, et appelle avecques eulx grant et notable nombre de solennelz maistres et docteurs en theologie et droit canon, commença par grande solennite et deux gravite le proces dicelle Jehanne. Et apres ce que luy et le dit inquisiteur juges en certe partie, eurent par plusieurs et diverses journees interrogue ladicte Jehanne, firent les confessions et assercions dicelle meurement examiner par lesditz maistres docteurs. Et generalement par toutes les facultez de nostre treschiere et tresaymee fille luniversite de Paris, devers laquelle lesdictes confessions et assercions ont este envoyez par loppinion et delibera

Jehanne supersticieuse, devineresse de diables, blasphemeresse en Dieu et en ses saintz et sainctes, scismastique et errant par moult de sors en la foy de Jesu Christ. Et pour la reduire et ramener a la unite et communion de nostre dicte mere saincte eglise, la purger de ses horribles et pernicieulx crimes et pechez, et guerir et preserver son ame de perpetuelle paine et damnacion, fut souvent et par bien long temps trescharitablement et doulcement admonestee a ce que toutes erreurs fussent par elle regectees et mises arriere, voulsist humblement retourner a la voye et droit sentier de verite ou autrement elle se mectoit en grant peril de ame et de corps. Mais le tresperilleux et deuise esperit dorgueil et de oultrageuse presumpcion qui tousjours sefforce de vouloir empescher la unite et seurte des loyaulx chrestiens occuppa et detint tellement en ses liens le courage dicelle Jehanne que, pour quelconque saincte doctrine ou conseil ne autre doulce exhortacion que on luy eust administree, son cueur endurcy et obstine ne se voulut humilier ne amolir. Mais se vantoit souvent que toutes choses quelle avoit faictes estoient bienfaictees, et les avoit faictes du commandement de Dieu et desdictes sainctes Vierges qui visiblement sestoient a elle apparuz. Et que pis est ne recognoissoit ne vouloit recognoistre en terre fors Dieu seulement et les saintz de Paradis en refusant et deboutant le jugement de nostre saint pere le Pape, du concille general, et la universelle eglise militant. Et voyans les juges ecclesiastiques sesditz courage et propos par tant et si longue espace de temps enduraj et obstine la firent mener devant le clergie et le peuple illec assemble en tresgrant multitude, en la presence desquelz furent preschez exposez et declairez solennellement et publicquement par ung notable maistre en theologie alexaltacion de nostre foy, extirpacion des erreurs, et ediffication et amendement du peuple chrestien. Et de rechief fut charitablement admonestee de retourner a lunion de saincte eglise

et de corriger ses faultes et erreurs en quoy pertinace et obstinee. Et en ce considere les juges dessusditz procederent a prononcer la sentence contre elle en tel cas de droit introduite et ordonnee. Mais avant que la sentence fut parluctee elle commencay semblant amuer son courage disant quelle vouloit retourner a saincte eglise, ce que voulentiers et joyeusement oyrent les juges et le clerge dessusditz, qui a cela receurent benignement, esperant per ce moyen son ame et son corps estre rachaptez de perdicion et torment. Adonc se submist a lordonnance de saincte eglise et ses erreurs et detestables crimes revocqua de la bouche. Et objura publicquement signant de sa propre main la cedulle de la dicte revocquacion et objuracion. Et par ain si nostre piteuse mere saincte eglise soy esioyssant sur la pecheresse faisant penitence

vueillant la brebris retourner et recouvrer qui par le desert sestoit esgaree et forvoyee ramener avecques les autres icelle Jehanne pour faire penitence condamna en chartre. Mais gueres ne fut illec que le feu de son orgueil qui sembloit estre estaint en icelle rembrasa en flambes pestilencieuses par les soufflemens de lennemy. Et tantost ladicte femme maleuree recheut es erreurs et es rageries que par avant avoit proferees et de puis revocquees et objurees comme dit est. Pour lesquelles causes selon ce que les jugemens et institucions de saincte eglise lordonnerent affin que doresenavant elle ne contaminast les autres membres de Jesu Christ, elle fut de rechef foreschee publiquement. Et comme elle fut renchue es crimes et faultes villaines par elle acoustumees fut delaissee a la justice seculiere, laquelle incontinent la condamna a estre bruslee. Et voyant son finement approucher elle congneut plainement et confessa que les esperitz quelle disoit estre apparans a elle souventeffois estoient maulvais et mensongiers, et que les promesses què iceulx espiritz luy avoient plusieurffois faictes de la delivrer estoient faulses. Et ainsi se confessa plesditz esperitz avoir este deceve et democquee. Si

[ocr errors][merged small][merged small]

Horse of the Idol Perenuth.

IN the temple of the Idol Peɲenuth a horse was kept on which the god rode to after a fight he was found covered with foam, assist his votaries in the battle, frequently none but the priests dared approach the place where he was kept.

When the Saxons designed to declare war against their enemies, they set their spears before the temple, and the sacred horse was led out, if he put his right foot forward, the omen was held good, if he stepped with his left foot first, the omen was esteemed unfortunate, and they desisted from the intended business. STRUT'S compleat view of the Manners, &c. of the ancient Inhabitants of England. See p. 12.

The White horse?-VERSTEGAN to be consulted, and SAXO GRAMMATICUS.

wwwwwm

Mercy Knives.

MERCY knives used to kill knights in compleat armour when overthrown, by sta' bing them in the eye. After the battle of Pavia some of the French were killed with pickaxes by the peasantry hewing on their ar

mour.

Capture of the Maid.

As before ye have heard somewhat of this damsels strange beginning and proceedings.

so, sith the ending of all such miracle-mon- | sold hir over again to the English, who for

gers dooth (for the most part) plainlie decipher the vertue and power that they worke, by hir shall ye be advertised what at last became of hir: cast your opinions as ye have cause. Of hir lovers (the Frenchmen) reporteth one, how in Campeigne thus besieged, Guillaume de Flavie the capteine having sold hir aforehand to the Lord of Lutzenburgh, under colour of hasting hir with a band out of the town towards their king, for him with speed to come and leavie the siege there, so gotten hir forth he shut the gates after hir; when anon by the Burgognians set upon and overmatcht in the conflict, she was taken : marie yet (all things accounted) to no small marvell how it could come so to passe, had she beene of any devotion or of true beleefe, and no false miscreant, but all holie as she made it. For earlie that morning she gat hir to St. Jameses church, confessed hir, and received her maker (as the booke terms it) and after setting hirself to a piller, manie of the townsmen that with a five or six score of their children stood about there to see hir, unto them quod she 'Good children and my dear friends, I tell you plaine one hath sold me. I am betraied and shortlie shall be delivered to death; I beseech you praie to God for me, for I shall never have more power to doo service either to the king or to the realm of France again."—Chroniques de Bretagne, p. 130.

"SAITH another booke, Le Rosier, she was intrapt by a Picard capteine of Soissons, who sold that citie to the Duke of Burgognie, and he then put it over into the hands of the Lord of Lutzenburgh, so by that means the Burgognians approached and besieged Campeigne; for succor whereof as damsell Jone with hir capteins from Laignie was thither come, and dailie to the English gave manie a hot skirmish, so happened it one a daie in an outsallie that she made by a Picard of the Lord of Lutzenburghs band, in the fiercest of hir fight she was taken, and by him by and by to his Lord presented, who

[ocr errors]

witchcraft and sorcerie burnt hir at Rone. Tillet telleth it thus, that she was caught at Campeigne by one of the Earl of Lignei's soldiers, from him had to Beaurevoir Castle, where kept a three months, she was after for 10,000 pounds in monie and 300 pounds in rent (all Turnois) sold into the English hands.”—In La Vie du Charles VII.

Sentence of the Maid.

IN which for hir pranks so uncouth and suspicious, the Lord Regent by Peter Chauchon Bishop of Beauvois (in whose diocesse she was taken) caused her life and beleefe, after order of law, to be inquired upon and examined. Wherein found though a virgin, yet first shamefullie rejecting hir sex abominablie in acts and apparell to have counterfeited mankind, and then all damnablie faithlesse, to be a pernicious instrument to hostilitie and bloudshed in divelish witchcraft and sorcerie, sentence accordinglie was pronounced against hir. Howbeit upon humble confession of hir iniquities, with a counterfeit contrition pretending a careful sorrowe for the same, execution spared and all mollified into this, that from thenceforth she should cast off hir unnatural wearing of man's abilliments, and keepe hir to garments of hir owne kind, abjure her pernicious practises of sorcerie and witcherie, and have life and leasure in perpetuall prison to bewaile hir misdeeds, which to performe (according to the manner of abjuration) a solemne oath verie gladlie she took.

"But herein (God helpe us) she fullie afore possest of the feend, not able to hold hir in anie towardness of grace, falling streightwaie into hir former abominations, (and yet seeking to catch out life as long as she might) stake not (tho the shift were shamefull), to confesse hirself a strumpet, and (unmarried as she was) to be with child. For triall, the Lord Regent's lenitie gave her nine months staie, at the end whereof, she, found herein as false as wicked in the

rest, an eight daies after, upon a further de- | threatening reprisal on Talbot, Suffolk, and finitive sentence declared against hir to be his other prisoners. The Cardinal of Winrelapse and a renouncer of hir oath and re- ton was the only Englishman among her pentance, was she thereupon delivered over judges. to secular power, and so executed by consumption of fire in the old market place of Rone, in the selfe same steede where now St. Michael's Church stands; hir ashes afterward without the towne wals shaken into the wind."-HOLINSHED, p. 604.

Perfumed Room in Alhambra. Is the cabinet (of the Alhambra) where the Queen used to dress and say her prayers, and which is still an enchanting sight, there is a slab of marble full of small holes, through which perfumes exhaled, that were kept constantly burning beneath. The doors and windows are disposed so as to afford the most agreeable prospects, and to throw a soft yet lively light upon the Fresh eyes. currents of air, too, are admitted, so as to renew every instant the delicious coolness of this apartment. From the Sketch of Moorish History prefixed to FLORIAN'S Gonsalvo of Cordova. Consult SWINBURNE and DU PERRON.

Fate of Flavy who betrayed the Maid. "WHEN Compeigne was besieged by the English and Burgundians, the maid with Xaintrailles threw herself into it. A party which sallied out were driven back by the English. Joan secured their retreat, but Flavy the governor shut the gates upon her, and she was pulled off her horse and taken by the bastard of Vendome.

"Blanche the wife of Flavy suspected him, soon after, of an intention to murder her, she resolved to be beforehand with him, courted the assistance of his barber and strangled her husband. Charles probably thought her motives such as justified the fact, for he granted her a free pardon.”— ANDREWS. See BRANTOME.

Charles might have saved the maid by

Insults offered to the Maid in Prison. Hist. de France par VILLARET, 4to. Paris, 1770, tome 8, p. 27, referring to 1431.

66

'Depos. du Seigneur de Macy present à cette entrevue.

"DANS le temps que les commissaries travailloient à l'instruction du procès avec le plus actif acharnement, le Comte de LigneLuxembourg eut l'inhumaine curiosité de voir cette généreuse prisonnière, lui qui l'avoit si lachement vendue. Les Comtes de Warwick et de Strafford l'accompagnoient. Il voulut lui persuader qu'il venoit pour traiter de sa rançon. Elle dédaigna de lui faire des reproches, et se contenta de lui dire, Vous n'en avez ni la volonté, ni la pouvoir. Je sçais bien que ces Anglois me feront mourir, croyant qu'après ma mort ils gagneront la royaume de France; mais seroient ils cent mille Goddons 1 plus qu'ils ne sont à present, ils n'auront pas ce royStrafford tira son epée et l'auroit perçée, si le Comte de Warwick ne l'avoit retenu."

aume.'

"JEANNE se plaignit qu'un tres grand seigneur d'Angleterre l'avoit voulu violer dans sa prison. L'autorité du coupable n'a pas permis qu'il nous parvint d'éclaircissement sur cette infamre particularité: voici un fait atteste; la Duchesse de Bedford, princesse vertueuse obtint qu'on respecteroit du moins la virginité de la pucelle. Elle l'avoit fait visiter; l'opinion de ce temps etant qu'une sorcière ne pouvoit être vièrge. Il n'est pas du report de l'histoire de prononcer sur l'infallibilité des signes: equivoques ou certains ils ne prouveroient point l'innocence de l'accusée; la purité de

"Godam, jurement Anglois qui signifie Dieu me damne," the common term for the English in France at that time.

« НазадПродовжити »