Bulletin de la Société liégeoise de littérature wallonne, Том 4J.-G. Carmanne, 1861 |
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Bulletin de la Société liégeoise de littérature wallonne, Томи 32 – 33 Повний перегляд - 1892 |
Bulletin de la Société liégeoise de littérature wallonne, Томи 11 – 13 Повний перегляд - 1868 |
Загальні терміни та фрази
ACAD aiwe Armonaque dé avou BAILLEUX biesse bon Dieu Borinage c'esteut chansons chat Chaudfontaine chet chien chin chose concours côp çou d'in d'on d'vant d'vin DEHIN DELCHEF diable diale Dict dicton dins dreut Etre fât nin Fáve feie feumme fiesse flokets foù gayal gins gn'a GOSSEU homme Ine cope l'aiwe l'aute L'ci LAFONTAINE laid LETELLIER Lettres picardes leup leus Liége liégeois LITT mâie maisse mariège Mélanges nº mohonne moirt MOUTRIEUX n'a nin NAMUR narenne noss ossi p'tit Pasqueie passe patois picardes pône pont d pout prind Prov proverbe qu'i qu'in QUITARD Qwand REMACLE REMOUCHAMPS ROUCHI saint sâreut siervante sins Société soffèle sovint spot ST-QUENTIN stron THIRY tiesse timps todi treus vât vaut mieux veie VERVIERS viker vint voss vout wiss XIIIe siècle
Популярні уривки
Сторінка 125 - Ces dispositions et ces humeurs dont nous venons de parler, cette fièvre chaude de rébellion, cette léthargie de servitude viennent de plus haut qu'on ne s'imagine. Dieu est le poète, et les hommes ne sont que les acteurs. Ces grandes pièces qui se jouent sur la terre ont été composées dans le ciel ; et c'est souvent un faquin qui en doit être l'Atrée ou l'Agamemnon.
Сторінка 601 - Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner pour lui les dernières tendresses; De protestations, d'offres et de serments, Vous chargez la fureur de vos embrassements ; Et, quand je vous demande après quel est cet homme, A peine pouvez-vous dire comme il se nomme; Votre chaleur pour lui tombe en vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent.
Сторінка 304 - Le Nil a vu, sur ses rivages, Les noirs habitants des déserts Insulter, par leurs cris sauvages, L'astre éclatant de l'univers. Cris impuissants, fureurs bizarres ! Tandis que ces monstres barbares Poussaient d'insolentes clameurs, Le dieu poursuivant sa carrière, Versait des torrents de lumière Sur ses obscurs blasphémateurs.
Сторінка 191 - Il s'élève une question sur la nature des richesses; et comme il n'est pas nécessaire...
Сторінка 302 - On lie les bœufs par les cornes, et les hommes par les paroles ; et autant vaut une simple promesse ou convenance, que les stipulations du droit romain.
Сторінка 364 - Il croyait travailler par nécessité, et il prenait plaisir à répéter que la nécessité est une muse à laquelle le courage donne sa poésie. Soutenu par l'idée que cet essai serait le dernier, il se sentait une entière liberté d'esprit, et, lorsqu'il était content de sa journée, il disait...
Сторінка 107 - On fera seulement une remarque qui paraît essentielle : c'est qu'il faut distinguer soigneusement dans ses vers ce qui es~t devenu proverbe d'avec ce qui mérite de devenir maxime. Les maximes sont nobles, sages, et utiles; elles sont faites pour les hommes d'esprit et de goût, pour la bonne compagnie. Les proverbes ne sont que pour le vulgaire, et l'on sait que le vulgaire esTt de tous les états.
Сторінка 385 - On n'entrait point chez nous sans graisser le marteau. Point d'argent, point de suisse ; et ma porte était close.
Сторінка 134 - Outre je t'adverti de ne faire conscience de remettre en usage les antiques vocables, et principalement ceux du langage wallon et picard, lequel nous reste par tant de siècles l'exemple naïf de la langue françoise...