Variations squelettiques du pied chez les Primates et dans les races humaines

Передня обкладинка
Laffray fils et gendre, 1905 - 266 стор.

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Популярні уривки

Сторінка 3 - ... mains, etc., comme caractères simiens. «Jusqu'à présent, répète-t-il ailleurs, je n'ai pas réussi, comme naturaliste et en me conformant aux règles, à découvrir de caractère distinguant l'homme des grands singes, car il y en a parmi ceux-ci qui sont moins pileux que l'homme, se tiennent verticalement, vont sur deux pieds, et rappellent l'espèce humaine par leurs pieds et leurs mains, au point que les voyageurs moins éclairés les prennent pour une sorte d'homme... Mais il ya chez...
Сторінка 10 - WVMA.N a découvert dès 1863, que dans l'embryon humain long d'un pouce environ « le gros orteil, au lieu d'être parallèle aux autres doigts, forme un angle avec le côté du pied, correspondant ainsi par sa position à l'état permanent de cet orteil chez les quadrumanes
Сторінка 5 - ... l'habitude de grimper sur les arbres et d'en empoigner les branches avec les pieds, comme avec les mains, pour s'y accrocher, et si les individus de cette race, pendant une suite de générations, étaient forcés de ne se servir de leurs pieds que pour marcher et cessaient d'employer leurs mains comme des pieds, il n'est pas douteux... que ces quadrumanes ne fussent à la fin transformés en bimanes et que les pouces de leurs pieds ne cessassent d'être écartés des doigts, ces pieds ne leur...
Сторінка 259 - LE DOYEN DE LA FACULTÉ DES SCIENCES, G. DARBOUX. Vu et permis d'imprimer : Paris, le 9 avril 1892.
Сторінка 107 - Broca, dans ma communication à la Société d'Anthropologie de Paris. (Bulletins de la Société d'Anthropologie de Paris, IV série, t.
Сторінка 118 - En supposant cela, il faut admettre que chez l'Homme c'est la forme ovoïde de la surface glénoïde scaphuïdienne qui est la primordiale, et lui a été léguée par ses ancêtres pithécoïdes, et que la forme carrée chez les Européens adultes actuels est un phénomène pour ainsi dire rétrograde représentant un retour vers la forme tout à fait ancienne que nous retrouvons chez lous les animaux marcheurs. Tout cela évidemment ne peut être expliqué qu'après l'étude préalable de la conformation...
Сторінка 210 - ... chaussure, et se range à l'opinion de SAPPEY, qui disait que « les secondes et troisièmes phalanges, comme tous les os qui s'atrophient, ont quelque tendance à se souder entre elles ». A la fin du chapitre consacré à ce sujet, il recommande cette question à l'attention des anthropologistes, et, d'après nos recherches, nous pouvons dire qu'il avait complètement raison.
Сторінка 108 - Cette fréquence d'une trace de la séparation du tibial externe du scaphoïde, ainsi que la présence de cet os en état séparé dans la période embryonnaire, ne permettent-elles de conclure que la tubéro ité du sc.iphoïde, en général, ne soit que le tibial externe soudé avec cet os?
Сторінка 161 - C) d'Européen ; a-6laxe de rotation dans la mortaise de la première phalange. curieux à remarquer comment, dans le pied des Japonais, l'angle d'écartement met ceux-ci au rang des races inférieures, tandis que l'angle de torsion, au contraire, les fait monter au voisinage des Européens. C'est donc encore une fois que le caractère mixte de cette race se fait remarquer même dans les détails anatomiques. Pour finir avec le premier métatarsien nous devons toucher encore une question depuis longtemps...

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